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  • Le vignoble de Fontès est né avec le castrum romain entre le premier et le deuxième siècle. C'était l'époque de la pax romana, un âge d'or pour la viticulture en Languedoc. Déjà à cette époque, les vins produits dans la région étaient exportés vers l'Italie, la Grèce et la Germanie. Aujourd´hui le vignoble s'étend sur 830 hectares sur un sol volcanique. Ses parcelles de garrigue offrent des vins très aromatiques. C'est notamment grâce à la nature environnante, très riche en fleurs (schiste, aubépine...) et en épices (thym, romarin, genièvre....). La coopérative de Fontesole a été créée en 1930 par la fusion des domaines de Carlencas et de L'Oustalet ainsi que de lieux prestigieux comme le Château de Mazers. Elle regroupe aujourd'hui près de 200 viticulteurs qui vous proposent une belle palette de vins savoureux et expressifs.  
  • Les santons sont de petites figurines qui représentent la Nativité chrétienne mais aussi d'anciens métiers et traditions de Provence. Les premiers santons de crèche, appelés « santi belli », sont apparus en Italie au 13e siècle. Avec la Révolution française, les églises deviennent la propriété de l'État français et en 1793, l'Assemblée nationale décide de fermer toutes les églises pour contrer le clergé. En Provence, les Français commencent à construire leurs propres crèches avec des « petits saints », des « santons » en provençal. Les santons étaient à l'origine fabriqués en mie de pain ou en papier mâché. C'est à Aubagne que le peintre Jean-Louis Lagnel a fabriqué les premiers santons en argile. Le métier de « santonnier » était né. Lagnel exposa ses créations pour la première fois en 1808 à la Foire aux santons de Marseille. Depuis 1897, cette foire marseillaise a lieu chaque année. Jean-Etienne Gaumé fabrique ses santons à partir de feuilles d'argile qu'il colore par miniatures. Il attache beaucoup d'importance à l'exactitude historique de ses personnages. Les vêtements
  • Les tissus provençaux « Indiennes » sont à l'origine de la fabrique « Les Olivades » fondée en 1818 en Provence. Les textiles y étaient imprimés à la planche à imprimer, lavés et séchés dans le pré voisin. Depuis, l'objectif est resté le même : Faire perdurer l'art ancestral de l'impression sur tissu dans le sud de la France, tout en le faisant évoluer et en l'adaptant aux conditions de vie actuelles.  
  • « La maison du fruit confit » est située au cœur du Parc Naturel Régional du Luberon à Apt. De par sa proximité avec les vergers, elle propose des fruits provenant directement de Provence, comme la cerise Bigarreau du Luberon, le melon et la pastèque de Cavaillon et l'abricot rose de Provence. D'autres fruits proviennent principalement de France, comme les figues, les prunes, les poires et les clémentines de Corse. Le savoir-faire artisanal et l'excellence de La Maison du Fruit Confit ont été récompensés en 2017 par l'obtention du label Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV), gage de qualité et garant d'un patrimoine culturel unique.
  • La coopérative « Les Aromates de Provence » travaille dans le respect des traditions afin de proposer des plantes aromatiques cultivées et transformées en Provence. L'objectif est de valoriser le patrimoine naturel méditerranéen en cultivant des plantes traditionnelles et emblématiques de la Provence, notamment le thym et le romarin. Les plantes sont récoltées au stade où elles sont les plus riches en huiles essentielles, ce qui a un impact direct sur les arômes des produits et leur confère une puissance olfactive et gustative incomparable. Après la récolte, les plantes sont séchées en douceur afin de conserver leurs propriétés organoleptiques originales. L'étape suivante est le battage des branches sèches. Il permet de détacher les feuilles du tronc. La coopérative récupère les plantes battues pour les couper, les trier et les calibrer. Toutes les impuretés du produit, c'est-à-dire la poussière, les tiges et les éventuelles substances étrangères, sont éliminées. Les plantes sont ensuite homogénéisées et mélangées selon une recette prédéfinie.
  • "Audary" propose de délicieux gésiers et tripes de canard ainsi que LE cassoulet. Le cassoulet est né au Moyen-Âge lors d'un siège de la ville de Castelnaudary. Pour survivre, les habitants ont mis en commun ce qui leur restait de nourriture et l'ont cuisiné ensemble. C'est ainsi qu'est né le fameux cassoulet de Castelnaudary.
  • Chez "AZAÏS-POLITO" le savoir-faire se transmet de père en fils depuis quatre générations. Les conserves de poisson sont toujours préparées à la main. Les recettes de soupes, plats cuisinés et pâtes à tartiner à base de poissons et de fruits de mer font l'objet d'une sélection minutieuse des meilleurs ingrédients, d'une qualité irréprochable et d'un respect scrupuleux des recettes. "AZAÏS-POLITO" a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine du Vivant » (EPV). Le label EPV est une marque de reconnaissance de l'État qui distingue les entreprises françaises disposant d'un savoir-faire artisanal et industriel d'excellence.
  • « Canavere » propose du riz biologique sous le label “Riz de Camargue”. Le label IGP « Riz de Camargue » est le seul label qui certifie l'origine du produit. La particularité du « Riz de Camargue » est que le riz est cultivé en France et qu'il est conforme à la législation agricole française et non européenne. La culture du riz permet de préserver l'écosystème et la biodiversité de la Camargue. L'apport d'eau pour les rizières fait remonter le sel dans la nappe phréatique. Cela permet d'éviter que la Camargue ne redevienne un marais salant asséché, sans faune ni flore.
  • Les calissons d'Aix-en-Provence sont des gourmandises à base de melon confit, d'amandes et d'écorces d'orange, recouvertes d'un glaçage blanc parfumé à la vanille. La Provence est entrée dans l'histoire des calissons aux XVIe et XVIIe siècles, lorsque l'amande a été mise sur le marché et que la culture locale des amandiers a été encouragée. Depuis 2002, le calisson d'Aix-en-Provence dispose d'une indication géographique protégée (IGP). Pour en bénéficier, le calisson doit d'une part être fabriqué à Aix-en-Provence et d'autre part respecter une recette spécifique. Selon la légende, le pâtissier de Roy René aurait fabriqué les premiers calissons d'Aix. Cette friandise aurait été créée pour le mariage du roi René d'Anjou et de son épouse Jeanne de Laval. La future reine avait la réputation d'être peu gracieuse et sévère. Mais lorsqu'elle goûta au calisson le jour de son mariage, son visage s'illumina d'un merveilleux sourire. Les friandises « di câlin souns » (en provençal) furent créées.
  • "Maison Chardin" propose du miel de forêt et de sapin des Vosges. En fait, il s'agit de miellat. Le miellat de forêt, brun et puissant, provient de l'exsudat des feuillages des forêts de la région Grand-Est (érable, chêne, noisetier). Le miellat de sapin, très foncé et épais, à l'arôme malté caractéristique, provient des aiguilles de sapin des régions montagneuses. Depuis cinq générations, la ruche Voirnot est utilisée par les apiculteurs Chardin. La ruche Voirnot est un cube qui a été conçu pour le bien-être des abeilles au début du 20e siècle. Le cube est le parallélépipède qui se rapproche le plus de la sphère et qui permet la meilleure régulation de la température au sein de la ruche. Voirnot s'est efforcé d'adapter la ruche aux abeilles plutôt que de forcer les abeilles à s'adapter à la ruche.
  • Les crayons alimentaires "OCNI" sont taillés pour l'assaisonnement. Ils ont du goût et en même temps, ils apportent une fantaisie française très particulière dans la cuisine. "OCNI" travaille exclusivement avec des matières premières naturelles : entre autres de l'agar-agar bio pour remplacer la gélatine, du jus de cèpe de Corrèze, de la pulpe de figue, du jus d'ail noir et du piment d'Espelette. La conservation est assurée par du sel IGP de Guérande et du vinaigre de cidre de la région nantaise.
  • Les vins du Château La Coste sont un exemple authentique de l'art de vivre à la française, produits dans le plus grand respect de la nature et du rythme de ses saisons, avec un réel sens de l'humilité. Au fil du temps, ces vins vieillissent pour exprimer tout le potentiel de leur terroir. Depuis les années 2000, le Château La Coste s'est tourné vers l'agriculture biologique. En 2009, les vins du domaine ont obtenu le label « Agriculture Biologique ». Afin de respecter les sols, les travaux tels que le griffage, le buttage et le débourrage sont effectués par des chevaux sur les parcelles les plus anciennes. En octobre, les vignes sont enherbées à l'aide de différentes plantes qui assurent l'aération, l'amélioration du sol et le piégeage de l'azote. En automne et au printemps, des moutons, des béliers et des agneaux paissent sur le domaine. Depuis 2021, le Château La Coste applique la biodynamie. Différentes mesures pour renforcer les défenses naturelles de la vigne contre les maladies y sont prises en suivant le calendrier lunaire.
  • La potière Sophie Lassagne crée des entonnoirs avec de la terre émaillée et elle les peints avec des couleurs qu'elle a elle-même fabriquées. Ses entonnoirs créent l'harmonie entre l'objet utilitaire et l'art pur, la fluidité et les matières minérales, la légèreté et la densité lumineuse des couleurs.
  • Le style de la "Faïencerie de Pornic" se caractérise par des guirlandes et des végétaux, un bord en éponge bleue et des petits personnages naïfs aux joues rondes et aux robes bouffantes. La manufacture, fondée en 1948, est un symbole de la Bretagne. Elle se focalise sur la fabrication de vaisselle en céramique comme le traditionnel « bol à oreilles ».
  • Les textiles d'intérieur de "Garnier-Thiebaut" apportent une énergie positive grâce à leur savoir-faire et à leur style propre, qui jouent avec la mode et les couleurs. "Garnier-Thiebaut" fait partie d'un cercle exclusif d'entreprises qui savent concilier tradition et innovation, savoir-faire et création, travail et passion, patrimoine et avenir, tant au niveau local qu'international. "Garnier-Thiebaut" porte le label « Vosges Terre Textile® ». Ce label garantit l'origine vosgienne, où la production est innovante et de haut niveau depuis plus de trois siècles. « Vosges Terre Textile® » témoigne de l'histoire, de la tradition et du savoir-faire exclusif de la région. L'entreprise a également obtenu le label « Entreprise du Patrimoine Vivant ». Ce label récompense le savoir-faire en matière de techniques artisanales typiques de la région et de procédés industriels spécifiques.
  • Le nord-est de la France est le berceau de l'industrie textile. Dans les Vosges, "Le Jacquard Français" fait souffler un vent de fraîcheur sur le linge de maison. Avec sa touche de fantaisie et ses couleurs vives, la marque brise les conventions du linge de maison. "Le Jacquard Français" est aujourd'hui la référence commune à des générations qui partagent la passion des beaux textiles et de la décoration. En 2010, l'entreprise a reçu le label Entreprise du Patrimoine Vivant pour son savoir-faire d'excellence entre artisanat et industrie.
  • « Haricot Rouge » est issu de la combinaison des deux passions de sa créatrice, la couture et la découverte de cultures différentes. La toile de Jouy de ses panières, trousses de toilettes et torchons racontent des histoires françaises d´inspiration mythologique, pastorale ou des fables de La Fontaine. Ses autres tissus nous emmènent vers le sud, le plaisir et la liberté.

     

  • Ce panier d'autrefois est aujourd'hui encore entièrement fabriqué à la main par Aude. Depuis trois générations, les paniers de récolte en treillis métallique sont fabriqués de manière artisanale dans l'atelier Aertgeerts près de Rennes. En 1923, le grand-père d'Aude a importé le tissage du fil de fer d'Allemagne et a créé son atelier en Bretagne. Le panier en fer tressé était autrefois utilisé pour toutes sortes de récoltes, notamment pour la récolte des pommes pour le cidre en Normandie. C'est de là que vient son appellation de « panier normand ». Ce sont des paniers solides en fer qui ont un charme tout particulier. Ils peuvent être utilisés comme objets utilitaires ou décoratifs. Mais pour Aude, ils sont plus que cela : ils sont un objet philosophique qui rassemble, transporte et partage. Toute la générosité humaine dans un seul objet !
  • Depuis 1860, des agriculteurs fabriquent des filets à la main en Normandie. Authenticité, ouverture et engagement sont les valeurs de la manufacture de ficelles et filets "Filt 1860". Authenticité, parce que tous les produits sont fabriqués en France à partir du savoir-faire hérité, qu´ils sont résistants et fonctionnels. Ouverture, pour pouvoir exporter des produits dans le monde entier. Engagement, en créant des formations et des emplois pour les personnes en situation de handicap et en favorisant le respect et la protection de l'environnement. "Filt 1860" a obtenu en 2017 le label « Entreprise du Patrimoine du Vivant » (EPV). Le label EPV est une marque de reconnaissance de l'État qui distingue les entreprises françaises disposant d'un savoir-faire artisanal et industriel d'excellence.
  • « Les Toiles du Large » proposent des sacs réalisés à partir de voiles usées avec une volonté de les sublimer. Les coutures, les œillets et les cicatrices de navigation donnent aux créations leur caractère et leur élégance, tout en évoquant des souvenirs d'une vie antérieure. Parallèlement, « Les Toiles du Large » s'inscrivent dans une démarche sociale et solidaire. Elles mènent une coopération avec des ateliers locaux pour personnes handicapées. C'est là que les pièces de voile sont cousues ensemble et les boutons-pression sont ajoutés.
  • Le tissage à la main catalan est issu d'une tradition vieille de plusieurs siècles. Les rayures colorées du tissu classique catalan sont le symbole des sept provinces du Pays basque. ARTIGA bouscule les codes de la toile basque sans perdre l'identité de cette pièce de coton. Ses créations apportent du soleil et de la bonne humeur dans la maison et suivent la devise « robuste et beau ».
  • Depuis 1930, La Compagnie du Kraft fabrique des carnets destinés à l'origine aux professionnels de la forêt landaise. Elle propose des carnets de notes, des carnets de voyage et des agendas robustes et personnalisables, associant le cuir de l'Aveyron et le papier kraft naturel de Gascogne. Les carnets sont entièrement démontables pour être indéfiniment rechargeables et réparables. Ils sont une petite résistance à l'ultraconsommation et à la consommation de masse. La manufacture a une idée bien précise de ce qu'est un carnet de voyage : il doit résister aux intempéries et ne pas se dissoudre en cas d'humidité élevée ; l'utilisation de colle est donc interdite. Le carnet de voyage peut avoir une couverture en papier ou en cuir, mais doit dans tous les cas être extrêmement solide. Les reliures en papier kraft renforcé sont indestructibles, car elles sont composées de fibres naturelles. La reliure en cuir tanné à l'aide de plantes est utilisée pour la sellerie. L´ensemble constitue un carnet solide et durable, qui peut être réparé et rechargé et qui peut archiver ses écrits. Bon voyage et n´oubliez pas: écrivez, respirez....
  • Il y a longtemps, dans un petit village de Bretagne, vivait un pêcheur nommé Augustin Guethenoc. Augustin était courageux, mais après un long voyage, il se plaignait parfois de ses chaussettes trouées. Sa femme Anne était une excellente couturière. Elle lui tricota des chaussettes souples avec des pointes et des talons renforcés. Elle y ajouta des motifs : bateaux, objets de la navigation, oiseaux, poissons, emblème d'une région, etc. Avec de telles chaussettes aux pieds, Augustin le marin se sentit si bien dans sa peau que son courage, sa force et sa confiance en lui s'en trouvèrent décuplés. Et surtout, son élégance ne passa pas inaperçue et était admirée de tous. Dans chaque port, marins et non-marins voulurent s'habiller comme Augustin. De siècle en siècle, de génération en génération, les descendants d'Augustin Guethenoc se sont transmis cette légende, et à la fin du siècle dernier, la légende est devenue réalité : la marque française Augustin a été créée.
  • Muriel Geoffroy crée des foulards élégants en feutre de laine. La fabrication du feutre de laine est un art. La technique est aussi vieille que le monde, mais le métier de feutreur n'a pas d'autre école que celle de la transmission. Contrairement à la plupart des tissages, le feutre est une « étoffe non tissée » : l'enchevêtrement des fibres de laine n'est pas le résultat d'un savant croisement, mais d'un mélange aléatoire de la matière première. La laine est étalée sur une natte de paille et recouverte d'eau savonneuse, car le savon ouvre les fibres. Les fibres s'enchevêtrent ainsi les unes dans les autres avant que la feutrière ne masse la matière, la roule plusieurs centaines de fois, et la tape jusqu'à ce qu'elle ait la densité nécessaire pour l'objet prévu.
  • Lorsqu'Elsa avait dix ans, sa mère et sa grand-mère lui ont montré comment fabriquer un fuseau de lavande, perpétuant ainsi la transmission de ce savoir-faire typiquement provençal. En 2015, Elsa a créé son entreprise autour de la lavande, dont des fuseaux de lavande, des coussins de relaxation et des sachets de lavande. Il y a environ 2000 ans, les Romains, séduits par sa couleur éclatante et son délicieux parfum, ont commencé à l'utiliser pour laver le linge. Ils lui ont donné son nom, dérivé du mot latin « lavare », qui signifie laver et nettoyer. À cette époque, il était également utilisé comme parfum dans les armoires et on s'est rapidement aperçu qu'il pouvait protéger le linge des mites. Plus tard, au Moyen Âge, on lui a également attribué des propriétés médicinales. Excellent antiseptique, les fleurs de lavande sauvage étaient cueillies et utilisées pour soigner les plaies. Lorsque la coopérative des maîtres parfumeurs a été fondée dans la ville de Grasse en 1759, la demande de lavande a augmenté. Les paysans provençaux ont donc commencé à cultiver les bosquets de lavande sauvage dans les collines des Alpes de Haute Provence. Aujourd'hui, la lavande de Provence est cultivée sur environ 20.000 hectares dans les départements de la Drôme, des Alpes de Haute Provence, des Hautes Alpes et du Vaucluse.
  • Le savon de Marseille est authentique, efficace et naturel. Il a traversé les siècles sans vieillir ! Il est utilisé quotidiennement aussi bien pour les soins du corps que pour l'entretien du linge et de la maison. Un édit de Colbert datant de 1688 a fixé la méthode de fabrication du savon de Marseille : un savon de Marseille est considéré comme authentique s'il est cuit dans un chaudron et fabriqué dans la région de Marseille. Le savon doit être fabriqué uniquement à partir d'huiles, d'eau, de sel et de soude. Il doit contenir au moins 72 % d'huiles et ses huiles doivent être 100 % végétales. Il ne doit pas contenir de colorants, de conservateurs ou de parfums. Le processus de fabrication (macération, décantation, cuisson, lavage, liquidation) dure plusieurs jours. L'entreprise familiale Rampal Latour a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine du Vivant » (EPV) pour son savon. Le label EPV est une marque de reconnaissance de l'État qui distingue les entreprises françaises disposant d'un savoir-faire artisanal et industriel d'excellence.
  • Les Oyas® sont des pots en terre cuite qui sont enterrés dans le sol à proximité des plantes et remplis d'eau. Comme l'argile est poreuse, elle permet à l'humidité nécessaire de s'échapper progressivement. Les plantes absorbent l'eau dont elles ont besoin et le sol reste meuble et bien aéré. Le pot se vide en plusieurs jours, selon le volume, le type de sol, de plante et de climat. Ce système d'irrigation permet des économies d'eau exceptionnelles de 50 à 75%. Le travail de l'argile a toujours existé dans le monde entier, mais le phénomène de micro-porosité de la céramique est une particularité qui a été peu maîtrisée et étudiée jusqu'à présent. Quatre années de recherche et développement d'Oyas® environnement en collaboration avec des centres de recherche ont permis de maîtriser cette propriété naturelle. Les paramètres de la chimie de l'argile, du façonnage et des courbes de cuisson y ont été étudiés et optimisés. En achetant des poteries Oyas, vous faites un geste : vous contribuez positivement à l'environnement en réduisant votre impact écologique. Vous choisissez également de soutenir des entrepreneurs qui s'engagent dans une démarche de responsabilité sociale.
  • Les santons sont de petites figurines en argile qui représentent la naissance chrétienne du Christ mais aussi la culture provençale. Serge Vincent se documente sur les métiers oubliés et les traditions anciennes pour en faire de nouvelles figurines. Sa passion pour les œuvres des 18e et 19e siècles l'aide à mettre en avant la délicatesse et le mouvement dans ses santons.
  • La joaillière et graphiste Sophie Bris recherche la simplicité et la légèreté. Elle crée des bijoux et des mobiles pleins de fantaisie. Pour ce faire, elle utilise des matériaux naturels comme le cuir, le métal, le cristal, l'hématite, les perles de rivière, les plumes ou des matériaux recyclés comme un disque, une chambre à air de vélo, une capsule de bière, une boîte de sardines, etc. Sa devise est l'équilibre. Équilibre entre le précieux et le déchet, équilibre de l'eau et de l'air, équilibre dans la vie....
  • Catherine travaille avec du grès chamotté pour créer des textures et des touchers différents, lisses, polis, rugueux et bruts. Avec le crochet, elle crée des surfaces et des volumes auxquels elle ajoute des motifs de petits grains, de boules, de traces, de trous. Parfois, elle coud aussi de petits cocons en kapok souple. Le minéral et le fil se soutiennent mutuellement, les matériaux se complètent. Catherine nous invite ainsi à un voyage à travers les sens : Le grès renvoie la lumière de manière uniforme ou diffractée, selon sa couleur et le traitement de sa surface. Quelques éléments textiles éclairent l'ensemble d'une couleur vive et contrastée. Les variations de textures, de modelages et de volumes enrichissent notre sens du toucher. Et les différentes matières et volumes produisent des sons différents et subtils qui résonnent en nous.
  • Tous les santons Arterra sont en argile et entièrement fabriqués à la main. Les différentes étapes de leur fabrication sont la création, la conception des moules, l'estampage, les retouches, l'ébarbage, le séchage, la cuisson, et la décoration. Tout commence par une recherche minutieuse de documents. Textes et images, parfois complétés par une enquête auprès des précurseurs, permettent de définir les santons dans leur attitude, leur costume, leurs accessoires et leurs outils. Le premier modèle est modelé en argile à l'aide de différents outils en buis ou en métal. Ces outils sont très souvent façonnés par l'artiste lui-même. A partir de ce premier modèle, on fabrique en plâtre ce que l'on appelle le « moule mère », qui sert à son tour à fabriquer ce que l'on appelle les « moules ». C'est à partir de ces moules que sont reproduits les nouveaux santons. L'argile est pressée dans le moule afin d'obtenir une empreinte du modèle. Chaque pièce est ensuite retravaillée individuellement.
  • Anne crée de nouvelles représentations où l'objectivité et l'interprétation sont aussi importantes l´une que l´autre. Elle s'empare de paysages délaissés et les redessine avec la délicatesse de la couture et la grande liberté graphique de la sérigraphie. Dans les créations d'Anne, la broderie à la main est utilisée comme outil graphique. Le fil cousu devient un trait de crayon et accompagne naturellement ses paysages textiles. Avec ses tableaux, Anne explore les multiples possibilités du tissu à travers des thèmes uniques. Ici, elle utilise du lin, cultivé en France, qui nécessite peu d'eau de la culture à la transformation. Elle utilise aussi du tissu de coton tissé par une entreprise française dans les Vosges, et des encres de sérigraphie françaises sans solvants.      
  • Les oeuvres d'Aurélia sont uniques et d'inspiration aquatique. Elles s'inspirent des rives, des profondeurs des lacs, des reflets et des vagues de l'eau. Leurs formes décoratives en volume reflètent parfois la fragilité d'un coquillage ou d'un exosquelette marin. Le travail d'Aurélia met en valeur les particularités du feutre, tantôt robuste et sculptural, tantôt fragile et évanescent. Elle utilise entre autres la laine Mako Merino des Alpes de Haute-Provence, la laine Blanche d'Auvergne et la laine Grivette de Rhône-Alpes.
  • En 2017, Pierre Gattaz acquiert le domaine et conduit la conversion du vignoble en culture biologique à plus de 300 mètres d´altitude, sur 35 hectares de sols caillouteux d´éboulis calcaires. Ses vins 1603 sont nés de l’alliance entre un terroir d’exception, des cépages uniques et le soleil méditerranéen. Ils parlent d’amitié et de philosophie.
  • Fabrice perfectionne les techniques traditionnelles de la vannerie anglaise, qu'il a parfois modifiées pour aller là où la matière le mène. Aujourd'hui, dans son nouvel atelier du sud de la France, il fabrique des objets utilitaires tels que des paniers, des sacs à bandoulière, des nichoirs, etc. Sa pratique prend souvent une dimension artistique lorsqu'il crée des sculptures et des pièces murales en vannerie contemporaine. Ces dernières sont exposées depuis peu dans des musées et des galeries.
  • Le travail de Nathalie est fait de marche, de promenade, d'observation, ainsi que de cueillette et de ramassage de petites choses ordinaires de la nature, comme le bois, l'écorce, les insectes, etc. Ensuite, il s'agit de souffler, de modeler et de graver le verre. Nathalie utilise le verre soufflé à la bouche, le verre gravé à froid ou le verre flammé pour jouer sur la transparence et l'opacité et faire ressortir les couleurs. Elle complète parfois la diversité des matériaux avec de la porcelaine blanche et mate. Plus tard vient le temps de l'assemblage, précis et minutieux, pour donner du corps et de la cohérence aux objets. Les pièces de Nathalie suggèrent et honorent la force et la fragilité de la nature ainsi que son immense diversité.
  • „La faïencerie de Varages“ fabrique dans le respect de la tradition Provencale des articles de table en faïence calcique à pate blanche. Les émaux lumineux et résistants, de qualité alimentaire garantie, sont selectionnés avec la plus grande attention. Les irrégularités apparentes de forme ou de couleur sont le signe de nombreuses interventions manuelles lors de la fabrication. Elles soulignent l´authenticité et le caractère des faïences d´hier et d´aujourd´hui, dans le respect d´un savoir faire conservé.
  • Moana crée des planches, des assiettes, des bols et des barrettes en faïence. Les objets usuels blancs crème sont décorés avec l'empreinte de motifs de dentelle ou de plantes. La céramique de Moana imagine un univers très particulier. Elle est à la fois simple, délicate et robuste.
  • Tous les livres utilisés sont destinés au pilon ou à la poubelle. Hélène les transforme pour leur redonner une place de choix dans nos bibliothèques. Chez Helcréa, chaque feuille du livre recyclé est coupée individuellement. Elle est ensuite pliée une première fois au niveau des écritures pour faire apparaitre le dessin pensé par Hélène et une deuxième fois dans la marge pour créer du volume. Tout est fait à la main et au scalpel, sans aucun logiciel. Quand les livres sont trop abîmés ils sont coupés pour devenir des pommes, des poires ou des vases.
  • Le matériau recyclé est prétexte à bien des créations, dont des cadres photos et des vide-poches. Sa mise en forme et en couleur autorise des interprétations nombreuses et étonnantes, le jeu des ondulations, des superpositions et assemblages fait merveille… le carton se prête à tout, laissé brut ou recouvert de vernis, peinture, flocage, il devient matériau de construction à part entière.
  • Ysatis travaille exclusivement avec du papier recyclé, dans le respect du développement durable. À partir de livres, elle crée des sacs à main spacieux et pratiques pour le quotidien. Chaque pièce est unique. Les vieux livres sont sélectionnés, pliés, coupés, assemblés à la main, tapissés de chutes de tissu de qualité et vernis deux fois pour les rendre résistants à la pluie.
  • L’histoire du Papier d’Arménie® débute en 1885. Lors d’un voyage en Arménie, Auguste Ponsot remarque que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin (résine de l´arbre aliboufier). Séduit par cette pratique traditionnelle et écologique, il décide d’importer ce produit en France. Son associé, le pharmacien Henri Rivier, découvre qu’en faisant dissoudre le benjoin dans de l’alcool à 90° on obtient une odeur persistante. L’ajout de parfum donne un mélange aromatique agréable et tenace. Il ne reste qu’à trouver un support. Ce sera le papier buvard qui absorbe le mélange tout en conservant l’odeur originelle du Benjoin et se consume lentement sans faire de flamme.  
  • "Clément Faugier", en liant les deux extrémités de la chaîne, de la châtaigne et du marron de qualité à une fabrication respectueuse des traditions, nous offre une farandole de produits – marrons glacés, crème ou purée de marrons, bonbons… – qui font le bonheur de bon nombre de gourmands.
  • « Haricot Rouge » est issu de la combinaison des deux passions de sa créatrice, la couture et la découverte de cultures différentes. La toile de Jouy de ses panières, trousses de toilettes et torchons racontent des histoires françaises d´inspiration mythologique, pastorale ou des fables de La Fontaine. Ses autres tissus nous emmènent vers le sud, le plaisir et la liberté.

     

  • Stéphane a plongé ses mains dans de nouvelles terres, autre source d’inspiration. Il explore depuis la céramique. La porcelaine est une argile qu´il affectionne particulièrement. Il la travaille au tour de potier, par modelage ou à la plaque. Elle lui permet de donner corps à un nouvel univers artistique.
  • "Jean Martin" est à la fois une confiserie d'olives et une conserverie de légumes de Provence. Jean Martin a commencé en 1920 avec des olives fraîches de la vallée des Baux de Provence. En 1956 la région a connu un gel brutal qui a détruit la récolte des olives. Il fallut de nombreuses années avant que les oliviers ne produisent à nouveau des fruits. L'entreprise s'est alors tournée vers les olives du Maroc et a cherché des cultures de qualité pour pouvoir poursuivre son activité. Il y a près de 10 ans, l'entreprise familiale a planté sa propre oliveraie en Provence afin de garantir un approvisionnement de qualité en olives du pays. Chez "Jean Martin", l'olive noire Grossane nature est privilégiée : l'intensité de son goût et son fruité incomparable se suffisent à eux-mêmes. En ce qui concerne les olives vertes, la Salonenque et la Béruguette sont récoltées selon la saison. C'est ainsi que l'on obtient la fameuse tapenade (pâte d'olive). En outre, "Jean Martin" propose entre autres de délicieuses ratatouilles, de la soupe au pistou, des crèmes à l'ail et aux artichauts.
  • En Bretagne, "la Biscuiterie des Vénètes" propose des biscuits, des confitures et des pâtes à tartiner au caramel et au beurre salé. Fière de ses valeurs artisanales et éco-responsables, elle n'utilise que des matières premières 100 % biologiques, sans conservateurs ni additifs. "La Biscuiterie des Venètes" a été enregistrée trois fois aux Épicures et elle a remporté la médaille de bronze au concours agricole Paris 2023.
  • Jacques s'est inspiré de l'époque hippie et des bijoux de bras que les Américains fabriquaient en fil d'acier inoxydable. Depuis 40 ans, il développe ses propres bijoux à partir de vieux couverts. Aujourd'hui, il fabrique des bracelets avec un système de fermeture discret qu'il a lui-même mis au point. Mais aussi des bagues, des pendentifs, des boucles d'oreilles, des broches ainsi que des objets de décoration en fourchettes, cuillères, assiettes à tarte, etc. en argent, en acier inoxydable ou en métal argenté.
  • Sur l'île de La Réunion, Galoo fabrique des bijoux et des décorations en origami. Ses pièces colorées allient esthétisme, minutie, originalité et poésie. L'origami est l'art japonais du pliage de papier (« ori » signifie plier et « kami » signifie papier). Une légende japonaise raconte que quiconque plie mille grues en papier voit son vœu exaucé. Galoo crée comme par magie de fines boucles d'oreilles en origami en forme de grue, de tortue, de poisson, d'éléphant et de baleine.  
  • Les paniers d'Isabelle sont en tissu et en cuir. Ils sont aussi rigides que ceux issus de la vannerie dite classique. Pour cela, Isabelle a développé et breveté une technique très personnelle et unique de «vannerie de coton». Il s'agit d'une «vraie» vannerie, mais adaptée aux textiles. Isabelle tresse également des galets en bois de cadet ainsi que des galets parfumés selon l'art japonais de la broderie. Les boutonnières des costumes traditionnels japonais sont ornées de ces broderies. Ils apportent chance et joie.  
  • "Roger Orfèvre" conçoit et fabrique des articles beaux et fonctionnels en bois et en acier inoxydable, notamment des casse-noix traditionnels et des corbeilles à pain et à fruits colorées et délicates.
  • Grâce à sa triple couche de toiles techniques respirantes, le pot laisse passer l'air à travers ses parois. L'oxygène permet aux racines et aux bonnes bactéries de se développer parfaitement. La croissance des racines est plus rapide et dense, permettant aux plantes d'utiliser tout l'espace intérieur. Des racines plus saines donnent des plantes en pleine santé, plus belles avec un meilleur rendement. Toutes les étapes de production sont réalisées en France avec le soucis d´émettre le moins possible de carbone.
  • A Toulouse, Carla crée en travaillant le métal sans utiliser la fusion ou la soudure. Pour donner naissance à ses „bijoux de maison“, Carla puise dans ses origines Amérindienne et utilise des matières recyclées et des „herbes des trottoirs“. Bijoux, mobiles et petites sculptures s´entremêlent et se répondent intuitivement dans un univers créatif plein de douceur et de malice.
  • Le Domaine de Tamara propose du savon, du savon à raser et du lait corporel à base de lait d'ânesse ainsi que du déodorant bio. Le savon au lait d'ânesse a des propriétés hydratantes et nourrissantes pour la peau. Il régénère les cellules de la peau et ralentit le processus de vieillissement. C'est un antioxydant qui apaise les inflammations cutanées et répare les tissus souffrant d'eczéma, de psoriasis, de rougeurs ou d'acné. Dans les savons du Domaine de Tamara, le lait d'ânesse est ajouté frais à la fin du processus de saponification selon un procédé spécial afin qu'il ne soit pas dénaturé et qu'il conserve ses propriétés.
  • Les santons sont des petites figurines en argile qui représentent la Nativité chrétienne mais aussi des métiers anciens et des traditions de Provence. Les santons « Couleur du Sud » sont à peindre. Ils figurent un monde simple et presque naïf, empreint de joie et de cordialité. Un peu de soleil au quotidien !
  • Le lin est la matière textile la plus ancienne. Des fragments de lin textile ont été découverts dans une grotte du Caucase datant de 36.000 ans av. J.-C. Très vite, le lin a été apprécié pour sa légerté, sa capacité d´absorption de la transpiration et ses propriétés thermorégulatrices. Ainsi, les soldats grecs de l´Antiquité empilaient 15 à 20 couches de lin sous leur armure. Aujourd´hui, le lin est majoritairement cultivé en France, sur une large bande côtière qui s’étend du Sud de la Normandie au Nord de la France. Sa culture nécessite peu d’engrais et de pesticides et quasiment aucune irrigation.
  • Le cidre fait partie intégrante de la culture et de la mémoire collective des bretons. Le verger du «Pressoir du Bélon» dans le Sud Finistère possède une surface de 8 ha. Il est conduit en Agriculture Biologique et regroupe pas moins d’une cinquantaine de variétés de pommes différentes, issues de la région. Ces pommes sont choisies pour leurs caractéristiques d’arôme ou de goût: amères, douces ou acidulées. Le cidre brut est sec et lègèrement fruité, le demi-sec est plus sucré, avec une pointe d´amertume en fin de bouche.
  • Monsieur Papier propose des carnets à motifs inspirés de la nature, un tissu, une association de couleurs, une odeur, un film, un souvenir ou un document ancien. Les formes se déplacent et se combinent pour former une première idée dans une tentative de collage mental. Lisa les laisser venir, sans chercher à les capturer trop vite. Lorsque la composition semble naturelle, elle est retranscrite sur le papier. Les couleurs viennent ensuite, dans un même élan créatif. L´impression des carnets réalisée en Bretagne avec des encres végétales est labellisée „Imprim´Vert“.
  • Le leporello est un objet décoratif emblématique en forme d’accordéon de papier entre deux planches de bois. Il sert à présenter de façon élégante et ludique une sélection de photos. Cet objet iconique incarne parfaitement l’esthétique et le savoir-faire de l’Atelier Blanc Wasabi, en faisant ressortir toute la beauté et l’émotion des souvenirs capturés.
  • « Q de Bouteilles » fabrique des carafes, des verres, des coquetiers, des planches et des bougeoirs à partir de bouteilles usagées de vin .Ici sont fabriqués les classiques de demain à partir de matériaux recyclés : des objets ménagers beaux et fonctionnels qui soutiennent un mode de production visant le zéro déchet. Le matériau recyclé est traité de manière harmonieuse, toujours en rapport avec sa fonction initiale et dans le respect de son histoire. Le respect est également une matière première. Respect de l'objet qui est transformé, respect des personnes qui l'ont conçu et respect de tous ceux qui participent à sa renaissance.
  • La poterie Siegfried-Burger & Fils propose de la vaisselle alsacienne traditionnelle et différentes collections inspirées de la nature, de la terre et du monde minéral. De la préparation de l'argile, jusqu'à la sortie du four, une poterie est prise en main entre 10 à 13 fois pour garantir une qualité sans pareil.
  • Paul vit en Bretagne. La mer et le ciel sont son quotidien. Sa vannerie lui ressemble: simple et apaisée.
  • « La Combe de Job » est un fabricant français de conserves de viande corrézienne. Elle perpétue l'authenticité, la tradition et la sélection rigoureuse de matières premières françaises, garantes de la qualité des produits. Pour la fabrication des pâtés, les viandes de canard, d'oie et de porc sont découpées au couteau et mélangées au cutter dans le respect des différentes recettes. Les plats cuisinés mijotent pendant des heures dans les marmites et les chaudrons et chaque sauce est faite maison. L'étape de l'emballage a également lieu dans la conserverie. « La Combe de Job » a déjà obtenu trois médailles au concours “Saveurs de Nouvelle-Aquitaine”.

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