• Tous les livres utilisés sont destinés au pilon ou à la poubelle. Hélène les transforme pour leur redonner une place de choix dans nos bibliothèques. Chez Helcréa, chaque feuille du livre recyclé est coupée individuellement. Elle est ensuite pliée une première fois au niveau des écritures pour faire apparaitre le dessin pensé par Hélène et une deuxième fois dans la marge pour créer du volume. Tout est fait à la main et au scalpel, sans aucun logiciel. Quand les livres sont trop abîmés ils sont coupés pour devenir des pommes, des poires ou des vases.
  • Moana crée des planches, des assiettes, des bols et des barrettes en faïence. Les objets usuels blancs crème sont décorés avec l'empreinte de motifs de dentelle ou de plantes. La céramique de Moana imagine un univers très particulier. Elle est à la fois simple, délicate et robuste.
  • „La faïencerie de Varages“ fabrique dans le respect de la tradition Provencale des articles de table en faïence calcique à pate blanche. Les émaux lumineux et résistants, de qualité alimentaire garantie, sont selectionnés avec la plus grande attention. Les irrégularités apparentes de forme ou de couleur sont le signe de nombreuses interventions manuelles lors de la fabrication. Elles soulignent l´authenticité et le caractère des faïences d´hier et d´aujourd´hui, dans le respect d´un savoir faire conservé.
  • Le travail de Nathalie est fait de marche, de promenade, d'observation, ainsi que de cueillette et de ramassage de petites choses ordinaires de la nature, comme le bois, l'écorce, les insectes, etc. Ensuite, il s'agit de souffler, de modeler et de graver le verre. Nathalie utilise le verre soufflé à la bouche, le verre gravé à froid ou le verre flammé pour jouer sur la transparence et l'opacité et faire ressortir les couleurs. Elle complète parfois la diversité des matériaux avec de la porcelaine blanche et mate. Plus tard vient le temps de l'assemblage, précis et minutieux, pour donner du corps et de la cohérence aux objets. Les pièces de Nathalie suggèrent et honorent la force et la fragilité de la nature ainsi que son immense diversité.
  • Fabrice perfectionne les techniques traditionnelles de la vannerie anglaise, qu'il a parfois modifiées pour aller là où la matière le mène. Aujourd'hui, dans son nouvel atelier du sud de la France, il fabrique des objets utilitaires tels que des paniers, des sacs à bandoulière, des nichoirs, etc. Sa pratique prend souvent une dimension artistique lorsqu'il crée des sculptures et des pièces murales en vannerie contemporaine. Ces dernières sont exposées depuis peu dans des musées et des galeries.
  • En 2017, Pierre Gattaz acquiert le domaine et conduit la conversion du vignoble en culture biologique à plus de 300 mètres d´altitude, sur 35 hectares de sols caillouteux d´éboulis calcaires. Ses vins 1603 sont nés de l’alliance entre un terroir d’exception, des cépages uniques et le soleil méditerranéen. Ils parlent d’amitié et de philosophie.
  • Les oeuvres d'Aurélia sont uniques et d'inspiration aquatique. Elles s'inspirent des rives, des profondeurs des lacs, des reflets et des vagues de l'eau. Leurs formes décoratives en volume reflètent parfois la fragilité d'un coquillage ou d'un exosquelette marin. Le travail d'Aurélia met en valeur les particularités du feutre, tantôt robuste et sculptural, tantôt fragile et évanescent. Elle utilise entre autres la laine Mako Merino des Alpes de Haute-Provence, la laine Blanche d'Auvergne et la laine Grivette de Rhône-Alpes.
  • Anne crée de nouvelles représentations où l'objectivité et l'interprétation sont aussi importantes l´une que l´autre. Elle s'empare de paysages délaissés et les redessine avec la délicatesse de la couture et la grande liberté graphique de la sérigraphie. Dans les créations d'Anne, la broderie à la main est utilisée comme outil graphique. Le fil cousu devient un trait de crayon et accompagne naturellement ses paysages textiles. Avec ses tableaux, Anne explore les multiples possibilités du tissu à travers des thèmes uniques. Ici, elle utilise du lin, cultivé en France, qui nécessite peu d'eau de la culture à la transformation. Elle utilise aussi du tissu de coton tissé par une entreprise française dans les Vosges, et des encres de sérigraphie françaises sans solvants.      
  • Tous les santons Arterra sont en argile et entièrement fabriqués à la main. Les différentes étapes de leur fabrication sont la création, la conception des moules, l'estampage, les retouches, l'ébarbage, le séchage, la cuisson, et la décoration. Tout commence par une recherche minutieuse de documents. Textes et images, parfois complétés par une enquête auprès des précurseurs, permettent de définir les santons dans leur attitude, leur costume, leurs accessoires et leurs outils. Le premier modèle est modelé en argile à l'aide de différents outils en buis ou en métal. Ces outils sont très souvent façonnés par l'artiste lui-même. A partir de ce premier modèle, on fabrique en plâtre ce que l'on appelle le « moule mère », qui sert à son tour à fabriquer ce que l'on appelle les « moules ». C'est à partir de ces moules que sont reproduits les nouveaux santons. L'argile est pressée dans le moule afin d'obtenir une empreinte du modèle. Chaque pièce est ensuite retravaillée individuellement.
  • Catherine travaille avec du grès chamotté pour créer des textures et des touchers différents, lisses, polis, rugueux et bruts. Avec le crochet, elle crée des surfaces et des volumes auxquels elle ajoute des motifs de petits grains, de boules, de traces, de trous. Parfois, elle coud aussi de petits cocons en kapok souple. Le minéral et le fil se soutiennent mutuellement, les matériaux se complètent. Catherine nous invite ainsi à un voyage à travers les sens : Le grès renvoie la lumière de manière uniforme ou diffractée, selon sa couleur et le traitement de sa surface. Quelques éléments textiles éclairent l'ensemble d'une couleur vive et contrastée. Les variations de textures, de modelages et de volumes enrichissent notre sens du toucher. Et les différentes matières et volumes produisent des sons différents et subtils qui résonnent en nous.
  • La joaillière et graphiste Sophie Bris recherche la simplicité et la légèreté. Elle crée des bijoux et des mobiles pleins de fantaisie. Pour ce faire, elle utilise des matériaux naturels comme le cuir, le métal, le cristal, l'hématite, les perles de rivière, les plumes ou des matériaux recyclés comme un disque, une chambre à air de vélo, une capsule de bière, une boîte de sardines, etc. Sa devise est l'équilibre. Équilibre entre le précieux et le déchet, équilibre de l'eau et de l'air, équilibre dans la vie....
  • Les santons sont de petites figurines en argile qui représentent la naissance chrétienne du Christ mais aussi la culture provençale. Serge Vincent se documente sur les métiers oubliés et les traditions anciennes pour en faire de nouvelles figurines. Sa passion pour les œuvres des 18e et 19e siècles l'aide à mettre en avant la délicatesse et le mouvement dans ses santons.

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