• « La Combe de Job » est un fabricant français de conserves de viande corrézienne. Elle perpétue l'authenticité, la tradition et la sélection rigoureuse de matières premières françaises, garantes de la qualité des produits. Pour la fabrication des pâtés, les viandes de canard, d'oie et de porc sont découpées au couteau et mélangées au cutter dans le respect des différentes recettes. Les plats cuisinés mijotent pendant des heures dans les marmites et les chaudrons et chaque sauce est faite maison. L'étape de l'emballage a également lieu dans la conserverie. « La Combe de Job » a déjà obtenu trois médailles au concours “Saveurs de Nouvelle-Aquitaine”.
  • Stéphane a plongé ses mains dans de nouvelles terres, autre source d’inspiration. Il explore depuis la céramique. La porcelaine est une argile qu´il affectionne particulièrement. Il la travaille au tour de potier, par modelage ou à la plaque. Elle lui permet de donner corps à un nouvel univers artistique.
  • « Haricot Rouge » est issu de la combinaison des deux passions de sa créatrice, la couture et la découverte de cultures différentes. La toile de Jouy de ses panières, trousses de toilettes et torchons racontent des histoires françaises d´inspiration mythologique, pastorale ou des fables de La Fontaine. Ses autres tissus nous emmènent vers le sud, le plaisir et la liberté.

     

  • "Clément Faugier", en liant les deux extrémités de la chaîne, de la châtaigne et du marron de qualité à une fabrication respectueuse des traditions, nous offre une farandole de produits – marrons glacés, crème ou purée de marrons, bonbons… – qui font le bonheur de bon nombre de gourmands.
  • L’histoire du Papier d’Arménie® débute en 1885. Lors d’un voyage en Arménie, Auguste Ponsot remarque que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin (résine de l´arbre aliboufier). Séduit par cette pratique traditionnelle et écologique, il décide d’importer ce produit en France. Son associé, le pharmacien Henri Rivier, découvre qu’en faisant dissoudre le benjoin dans de l’alcool à 90° on obtient une odeur persistante. L’ajout de parfum donne un mélange aromatique agréable et tenace. Il ne reste qu’à trouver un support. Ce sera le papier buvard qui absorbe le mélange tout en conservant l’odeur originelle du Benjoin et se consume lentement sans faire de flamme.  
  • Ysatis travaille exclusivement avec du papier recyclé, dans le respect du développement durable. À partir de livres, elle crée des sacs à main spacieux et pratiques pour le quotidien. Chaque pièce est unique. Les vieux livres sont sélectionnés, pliés, coupés, assemblés à la main, tapissés de chutes de tissu de qualité et vernis deux fois pour les rendre résistants à la pluie.
  • Le matériau recyclé est prétexte à bien des créations, dont des cadres photos et des vide-poches. Sa mise en forme et en couleur autorise des interprétations nombreuses et étonnantes, le jeu des ondulations, des superpositions et assemblages fait merveille… le carton se prête à tout, laissé brut ou recouvert de vernis, peinture, flocage, il devient matériau de construction à part entière.
  • Tous les livres utilisés sont destinés au pilon ou à la poubelle. Hélène les transforme pour leur redonner une place de choix dans nos bibliothèques. Chez Helcréa, chaque feuille du livre recyclé est coupée individuellement. Elle est ensuite pliée une première fois au niveau des écritures pour faire apparaitre le dessin pensé par Hélène et une deuxième fois dans la marge pour créer du volume. Tout est fait à la main et au scalpel, sans aucun logiciel. Quand les livres sont trop abîmés ils sont coupés pour devenir des pommes, des poires ou des vases.
  • Moana crée des planches, des assiettes, des bols et des barrettes en faïence. Les objets usuels blancs crème sont décorés avec l'empreinte de motifs de dentelle ou de plantes. La céramique de Moana imagine un univers très particulier. Elle est à la fois simple, délicate et robuste.
  • „La faïencerie de Varages“ fabrique dans le respect de la tradition Provencale des articles de table en faïence calcique à pate blanche. Les émaux lumineux et résistants, de qualité alimentaire garantie, sont selectionnés avec la plus grande attention. Les irrégularités apparentes de forme ou de couleur sont le signe de nombreuses interventions manuelles lors de la fabrication. Elles soulignent l´authenticité et le caractère des faïences d´hier et d´aujourd´hui, dans le respect d´un savoir faire conservé.
  • Le travail de Nathalie est fait de marche, de promenade, d'observation, ainsi que de cueillette et de ramassage de petites choses ordinaires de la nature, comme le bois, l'écorce, les insectes, etc. Ensuite, il s'agit de souffler, de modeler et de graver le verre. Nathalie utilise le verre soufflé à la bouche, le verre gravé à froid ou le verre flammé pour jouer sur la transparence et l'opacité et faire ressortir les couleurs. Elle complète parfois la diversité des matériaux avec de la porcelaine blanche et mate. Plus tard vient le temps de l'assemblage, précis et minutieux, pour donner du corps et de la cohérence aux objets. Les pièces de Nathalie suggèrent et honorent la force et la fragilité de la nature ainsi que son immense diversité.
  • Fabrice perfectionne les techniques traditionnelles de la vannerie anglaise, qu'il a parfois modifiées pour aller là où la matière le mène. Aujourd'hui, dans son nouvel atelier du sud de la France, il fabrique des objets utilitaires tels que des paniers, des sacs à bandoulière, des nichoirs, etc. Sa pratique prend souvent une dimension artistique lorsqu'il crée des sculptures et des pièces murales en vannerie contemporaine. Ces dernières sont exposées depuis peu dans des musées et des galeries.
  • En 2017, Pierre Gattaz acquiert le domaine et conduit la conversion du vignoble en culture biologique à plus de 300 mètres d´altitude, sur 35 hectares de sols caillouteux d´éboulis calcaires. Ses vins 1603 sont nés de l’alliance entre un terroir d’exception, des cépages uniques et le soleil méditerranéen. Ils parlent d’amitié et de philosophie.
  • Les oeuvres d'Aurélia sont uniques et d'inspiration aquatique. Elles s'inspirent des rives, des profondeurs des lacs, des reflets et des vagues de l'eau. Leurs formes décoratives en volume reflètent parfois la fragilité d'un coquillage ou d'un exosquelette marin. Le travail d'Aurélia met en valeur les particularités du feutre, tantôt robuste et sculptural, tantôt fragile et évanescent. Elle utilise entre autres la laine Mako Merino des Alpes de Haute-Provence, la laine Blanche d'Auvergne et la laine Grivette de Rhône-Alpes.
  • La joaillière et graphiste Sophie Bris recherche la simplicité et la légèreté. Elle crée des bijoux et des mobiles pleins de fantaisie. Pour ce faire, elle utilise des matériaux naturels comme le cuir, le métal, le cristal, l'hématite, les perles de rivière, les plumes ou des matériaux recyclés comme un disque, une chambre à air de vélo, une capsule de bière, une boîte de sardines, etc. Sa devise est l'équilibre. Équilibre entre le précieux et le déchet, équilibre de l'eau et de l'air, équilibre dans la vie....

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