• Le savon de Marseille est authentique, efficace et naturel. Il a traversé les siècles sans vieillir ! Il est utilisé quotidiennement aussi bien pour les soins du corps que pour l'entretien du linge et de la maison. Un édit de Colbert datant de 1688 a fixé la méthode de fabrication du savon de Marseille : un savon de Marseille est considéré comme authentique s'il est cuit dans un chaudron et fabriqué dans la région de Marseille. Le savon doit être fabriqué uniquement à partir d'huiles, d'eau, de sel et de soude. Il doit contenir au moins 72 % d'huiles et ses huiles doivent être 100 % végétales. Il ne doit pas contenir de colorants, de conservateurs ou de parfums. Le processus de fabrication (macération, décantation, cuisson, lavage, liquidation) dure plusieurs jours. L'entreprise familiale Rampal Latour a obtenu le label « Entreprise du Patrimoine du Vivant » (EPV) pour son savon. Le label EPV est une marque de reconnaissance de l'État qui distingue les entreprises françaises disposant d'un savoir-faire artisanal et industriel d'excellence.
  • Les Oyas® sont des pots en terre cuite qui sont enterrés dans le sol à proximité des plantes et remplis d'eau. Comme l'argile est poreuse, elle permet à l'humidité nécessaire de s'échapper progressivement. Les plantes absorbent l'eau dont elles ont besoin et le sol reste meuble et bien aéré. Le pot se vide en plusieurs jours, selon le volume, le type de sol, de plante et de climat. Ce système d'irrigation permet des économies d'eau exceptionnelles de 50 à 75%. Le travail de l'argile a toujours existé dans le monde entier, mais le phénomène de micro-porosité de la céramique est une particularité qui a été peu maîtrisée et étudiée jusqu'à présent. Quatre années de recherche et développement d'Oyas® environnement en collaboration avec des centres de recherche ont permis de maîtriser cette propriété naturelle. Les paramètres de la chimie de l'argile, du façonnage et des courbes de cuisson y ont été étudiés et optimisés. En achetant des poteries Oyas, vous faites un geste : vous contribuez positivement à l'environnement en réduisant votre impact écologique. Vous choisissez également de soutenir des entrepreneurs qui s'engagent dans une démarche de responsabilité sociale.
  • Les santons sont de petites figurines en argile qui représentent la naissance chrétienne du Christ mais aussi la culture provençale. Serge Vincent se documente sur les métiers oubliés et les traditions anciennes pour en faire de nouvelles figurines. Sa passion pour les œuvres des 18e et 19e siècles l'aide à mettre en avant la délicatesse et le mouvement dans ses santons.
  • Catherine travaille avec du grès chamotté pour créer des textures et des touchers différents, lisses, polis, rugueux et bruts. Avec le crochet, elle crée des surfaces et des volumes auxquels elle ajoute des motifs de petits grains, de boules, de traces, de trous. Parfois, elle coud aussi de petits cocons en kapok souple. Le minéral et le fil se soutiennent mutuellement, les matériaux se complètent. Catherine nous invite ainsi à un voyage à travers les sens : Le grès renvoie la lumière de manière uniforme ou diffractée, selon sa couleur et le traitement de sa surface. Quelques éléments textiles éclairent l'ensemble d'une couleur vive et contrastée. Les variations de textures, de modelages et de volumes enrichissent notre sens du toucher. Et les différentes matières et volumes produisent des sons différents et subtils qui résonnent en nous.
  • Tous les santons Arterra sont en argile et entièrement fabriqués à la main. Les différentes étapes de leur fabrication sont la création, la conception des moules, l'estampage, les retouches, l'ébarbage, le séchage, la cuisson, et la décoration. Tout commence par une recherche minutieuse de documents. Textes et images, parfois complétés par une enquête auprès des précurseurs, permettent de définir les santons dans leur attitude, leur costume, leurs accessoires et leurs outils. Le premier modèle est modelé en argile à l'aide de différents outils en buis ou en métal. Ces outils sont très souvent façonnés par l'artiste lui-même. A partir de ce premier modèle, on fabrique en plâtre ce que l'on appelle le « moule mère », qui sert à son tour à fabriquer ce que l'on appelle les « moules ». C'est à partir de ces moules que sont reproduits les nouveaux santons. L'argile est pressée dans le moule afin d'obtenir une empreinte du modèle. Chaque pièce est ensuite retravaillée individuellement.
  • Anne crée de nouvelles représentations où l'objectivité et l'interprétation sont aussi importantes l´une que l´autre. Elle s'empare de paysages délaissés et les redessine avec la délicatesse de la couture et la grande liberté graphique de la sérigraphie. Dans les créations d'Anne, la broderie à la main est utilisée comme outil graphique. Le fil cousu devient un trait de crayon et accompagne naturellement ses paysages textiles. Avec ses tableaux, Anne explore les multiples possibilités du tissu à travers des thèmes uniques. Ici, elle utilise du lin, cultivé en France, qui nécessite peu d'eau de la culture à la transformation. Elle utilise aussi du tissu de coton tissé par une entreprise française dans les Vosges, et des encres de sérigraphie françaises sans solvants.      
  • Le style de la "Faïencerie de Pornic" se caractérise par des guirlandes et des végétaux, un bord en éponge bleue et des petits personnages naïfs aux joues rondes et aux robes bouffantes. La manufacture, fondée en 1948, est un symbole de la Bretagne. Elle se focalise sur la fabrication de vaisselle en céramique comme le traditionnel « bol à oreilles ».
  • La potière Sophie Lassagne crée des entonnoirs avec de la terre émaillée et elle les peints avec des couleurs qu'elle a elle-même fabriquées. Ses entonnoirs créent l'harmonie entre l'objet utilitaire et l'art pur, la fluidité et les matières minérales, la légèreté et la densité lumineuse des couleurs.
  • Les vins du Château La Coste sont un exemple authentique de l'art de vivre à la française, produits dans le plus grand respect de la nature et du rythme de ses saisons, avec un réel sens de l'humilité. Au fil du temps, ces vins vieillissent pour exprimer tout le potentiel de leur terroir. Depuis les années 2000, le Château La Coste s'est tourné vers l'agriculture biologique. En 2009, les vins du domaine ont obtenu le label « Agriculture Biologique ». Afin de respecter les sols, les travaux tels que le griffage, le buttage et le débourrage sont effectués par des chevaux sur les parcelles les plus anciennes. En octobre, les vignes sont enherbées à l'aide de différentes plantes qui assurent l'aération, l'amélioration du sol et le piégeage de l'azote. En automne et au printemps, des moutons, des béliers et des agneaux paissent sur le domaine. Depuis 2021, le Château La Coste applique la biodynamie. Différentes mesures pour renforcer les défenses naturelles de la vigne contre les maladies y sont prises en suivant le calendrier lunaire.
  • Les crayons alimentaires "OCNI" sont taillés pour l'assaisonnement. Ils ont du goût et en même temps, ils apportent une fantaisie française très particulière dans la cuisine. "OCNI" travaille exclusivement avec des matières premières naturelles : entre autres de l'agar-agar bio pour remplacer la gélatine, du jus de cèpe de Corrèze, de la pulpe de figue, du jus d'ail noir et du piment d'Espelette. La conservation est assurée par du sel IGP de Guérande et du vinaigre de cidre de la région nantaise.
  • "Maison Chardin" propose du miel de forêt et de sapin des Vosges. En fait, il s'agit de miellat. Le miellat de forêt, brun et puissant, provient de l'exsudat des feuillages des forêts de la région Grand-Est (érable, chêne, noisetier). Le miellat de sapin, très foncé et épais, à l'arôme malté caractéristique, provient des aiguilles de sapin des régions montagneuses. Depuis cinq générations, la ruche Voirnot est utilisée par les apiculteurs Chardin. La ruche Voirnot est un cube qui a été conçu pour le bien-être des abeilles au début du 20e siècle. Le cube est le parallélépipède qui se rapproche le plus de la sphère et qui permet la meilleure régulation de la température au sein de la ruche. Voirnot s'est efforcé d'adapter la ruche aux abeilles plutôt que de forcer les abeilles à s'adapter à la ruche.
  • Les calissons d'Aix-en-Provence sont des gourmandises à base de melon confit, d'amandes et d'écorces d'orange, recouvertes d'un glaçage blanc parfumé à la vanille. La Provence est entrée dans l'histoire des calissons aux XVIe et XVIIe siècles, lorsque l'amande a été mise sur le marché et que la culture locale des amandiers a été encouragée. Depuis 2002, le calisson d'Aix-en-Provence dispose d'une indication géographique protégée (IGP). Pour en bénéficier, le calisson doit d'une part être fabriqué à Aix-en-Provence et d'autre part respecter une recette spécifique. Selon la légende, le pâtissier de Roy René aurait fabriqué les premiers calissons d'Aix. Cette friandise aurait été créée pour le mariage du roi René d'Anjou et de son épouse Jeanne de Laval. La future reine avait la réputation d'être peu gracieuse et sévère. Mais lorsqu'elle goûta au calisson le jour de son mariage, son visage s'illumina d'un merveilleux sourire. Les friandises « di câlin souns » (en provençal) furent créées.

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